les disputes entre frères et soeurs
Publié le 3 Octobre 2005
EXEMPLE: Lors des querelles fraternelles
- N'étant pas présent au début de la querelle, on a habituellement pas le moyen de savoir qui a commencé. On se retrouve alors dans un rôle d'arbitre, les deux parties voulant qu'on se range de leur côté.
- Qu'est-ce que l'enfant en retire ?
- QU'IL SOIT COUPABLE OU NON:
- De l'attention. Si c'est le besoin à combler, cela va se reproduire; principe de renforcement
- Celui qui reçoit l'approbation du parent est content, il obtient du pouvoir et du contrôle
- Celui qui reçoit la désapprobation est fâché, il veut se venger en partant une autre querelle
On ne peut pas régler les querelles entre enfants
La meilleure façon
- Ne pas intervenir, qu'ils apprennent à régler les différents eux-mêmes
- Leur montrer aussi comment ils peuvent régler cela entre eux
Une autre façon
- L'isolation sociale, on les sépare, comment cela les deux sont corrigés
2 idées erronnées
1° - On pense qu'il y en a un d'innocent, rare qu'il y en ait qu'un de coupable à 100 %
2° - On pense que l'enfant plus faible risque d'être blessé, ce qui est très rare, surtout si les parents ne sont pas en vue. Encore là, il faut connaître nos enfants.
- Les craintes peuvent nous pousser à surprotéger notre enfant. A court terme on leur évite la douleur. A long terme, on les handicape, car on les empêche de se former en apprenant par eux-mêmes les leçons de la vie.