Noël est-elle une fête chrétienne?
Publié le 8 Décembre 2009
Nous constatons qu’à cette époque de l’histoire de l’humanité, à l’ère des technologies de l’information, il existe une explosion de connaissance (Dan 12:4). Et lors de mes nombreuses recherches qui touchent l’eschatologie, Dieu nous fait aussi découvrir ces choses dont nous allons parler aujourd’hui.
Dans toutes ces recherches, Dieu nous amène à constater avec stupéfaction à quel point le monde est profondément séduit et éloigné de Lui, et les sujets touchants le domaine de nos pratiques religieuses ne font pas exceptions. Bien au contraire, cela fait partie d’un tout.
Dieu veut que nous sachions aujourd’hui d’où proviennent ces choses. Choses qui ont émergé de la grande religion babylonienne à mystères, celle qui régna sur le monde pendant plus de 1500 ans, et qui revient maintenant en vigueur, sous d’autres noms et appellations.
Choses dont le monde censément chrétien a conservé dans ses pratiques par traditions, et transmises jusqu’à nous aujourd’hui de génération en génération. Ce sont des choses que nous devons savoir en tant que chrétiens, et nous avons la chance que Dieu nous fasse découvrir ces choses-là.
Noël est-elle une fête chrétienne?
Mais, ne vous êtes-vous jamais arrêté pour réfléchir aux activités intenses, souvent fébriles, qui marquent les derniers mois de l’année (Halloween, Noël, le Nouvel An), pour vous demander :
Noël est-elle une fête chrétienne?
« Pourquoi est-ce que je fais ça? »
« Que signifie tout cela? »
« Y a-t-il une raison à toutes ces choses? »
Peut-être, qu’au fond de vous-même, avez-vous déjà pressenti les réponses, et évitez-vous de vous poser ces questions.
Que vous le croyiez ou non, toutes les coutumes qui entourent la fête de Noël et bien d’autres n’ont absolument rien à voir avec Jésus-Christ. Pires, elles tirent leurs origines de pratiques religieuses païennes. Il est possible que cela scandalise certaines personnes, mais c’est la vérité – et la preuve est facile à démontrer.
« Pourquoi célébrons-nous ce qui semble être d’origine d’une fête
chrétienne, Noël, dans la religion d’Astarù?
Clarifions quelque chose tout de suite en partant… Mis à part les
scènes de la nativité et la Messe de Minuit, tout ce qui est
pratiqué et observé par les chrétiens en cette saison, qu’ils
appellent Noël, ils se le sont approprié de source barbare et
païenne. Il s’agit d’un fait que n’importe quel historien, même
médiocre, pourra découvrir par une simple brève recherche du
passé. Cette connaissance, bien que connue des milieux érudits,
demeure généralement dissimulée aux populations chrétiennes.
Cette saison du Solstice d’Hiver est possiblement la plus
importante de l’année pour ceux qui suivent l’ancienne religion
d’Astaru. Elle débute dans la « Nuit Mère » du 20 décembre et se
termine à la 12e nuit, le 31 décembre. Festoyer, donner des
cadeaux, décorer des arbres, visiter la parenté et les amis, les
cultes religieux, etc., tout cela fait partie de cette période
magique de douze jours. Tout cela était observé par des millions
de nos ancêtres depuis des millénaires, bien avant la religion
chrétienne d’origine judaïque. » The Witches’ Voice – Popular
Holidays, withchvox.com
Aussi surprenant que cela puisse paraître, l’Encyclopédie Catholique
même nous révèle avec une très grande clarté que cette fête de Noël
n’était pas à l’origine observée par les premiers chrétiens.
« Noël ne faisait pas partie des festivités originales de
l’Église. Iréné (115 - 191) et Tertullien (160 - 213) l’ont omis
dans leur liste des fêtes; Origène (185 - 232), cherchant
probablement à jeter le discrédit sur cette Natalitia impériale
revendique que dans les Écritures, seuls les pécheurs, pas les
saints, célèbrent leur naissance; Arnobius (284 - 305) tourne à la
dérision l’ « anniversaire de naissance » des dieux. »
Encyclopédie Catholique – New Advent en ligne sous la rubrique
“Christmas”. NewAdvent.org
L’Empereur Constantin, qui comprenait le rôle essentiel que la
religion jouait dans l’ancienne Rome, a donné un statut officiel au
christianisme. De cette façon, il apporta la paix interne à
l’Empire.
En brillant commandant militaire, il avait aussi le génie de
reconnaître qu’après avoir déclaré le Christianisme comme étant la
religion de l’état (Constantin a forcé tous les païens de son empire
à être baptisés dans l’église romaine), il y avait maintenant un
besoin urgent d’unir le paganisme et le Christianisme.
À cette époque, l’église romaine corrompue était maintenant remplie
de païens étiquetés comme Chrétien, qui tous devaient être pacifiés.
Quelle excellente façon de « Christianiser » leurs idolâtries
païennes. Ainsi, les religions Babyloniennes mystérieuses furent
introduites par Constantin, débutant en 313 apr. J.C. (et établirent
une position forte avec le conseil (ou concile) de Nicée en 325 apr.
J.C.)
L’église romaine conduite par Constantin était plus que consentante
à adapter et adopter les pratiques païennes afin de rendre le
Christianisme plus savoureux. Constantin utilisa la religion comme
outil un politique, totalement dépourvue de spiritualité véritable.-
les rituels païens et idoles prirent des noms Chrétien.
Surprenant!
Au début du 17e siècle, même en Angleterre, après la réforme, et
dans les colonies puritaines d’Amérique du Nord, la célébration de
Noël était bannie. Les puritains, (les réformés qui voulaient garder
le christianisme pur) étaient offensés des excès de manger et de
boire et de toutes choses observées pendant cette saison de fêtes.
En 1644, toute célébration de Noël, séculière ou religieuse, était
interdite sur décret du parlement.
Les crieurs des rues proclamaient « Pas de Noël » à cette époque. Le
jour de noël était considéré comme un jour ouvrable ordinaire et
quiconque y attachait une signification religieuse ou n’irait pas
travailler ce jour-là, pouvait être puni d’amande ou même mis en
prison.
Lentement les choses changèrent et la loi fut révoquée en 1681, mais
l’hostilité des chrétiens à l’égard de Noël se poursuivit pendant
des années.
Je pense qu’en ce temps de la fin il ne faux pas se conformer aux siècles présent (romains12v2) le constat est que les chrétiens se compromettent beaucoup surtout lorsqu’il s’agit des fêtes en
tout genre, des musique profanent etc.
Ce qui est plus grave ce que nous transmettons ses coutumes païennes a nos enfants.